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Ray tracing, DLSS 4.0 et FSR 3.0 : ça donne quoi en jeu ?

Ray tracing, DLSS 4.0 et FSR 3.0 : ça donne quoi en jeu ?

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Ray tracing, DLSS 4.0, FSR 3.0 : quand on parle cartes graphiques, ces technologies sont forcément ramenées sur la table. Entre la promesse d’effets spéciaux plus vrais que nature, du dopage de FPS et de l’IA générative, ça vend du rêve. Mais qu’est-ce que ça change vraiment quand on est clavier et souris en main, et casque sur les oreilles ? Ray tracing, DLSS 4.0 et FSR 3.0 : concrètement, ça donne quoi en jeu ? Aujourd’hui, on lève le voile sur ce jargon souvent trop flou.

 

Ray tracing, DLSS 4.0 et FSR 3.0 : quelles technologies sont vraiment utiles ?

Ray tracing, DLSS 4, FSR 3.0 : du jargon bien technique qui en jette. Mais, quésaco ? Est-ce que c’est juste du joli pipeau pour vendre des images de rêves ? Heureusement que non. Le ray tracing, c’est pour claquer des effets de lumière de malade. Le DLSS 4, c’est pour doper ta dose de FPS côté NVIdia. Et le FSR 3 ? C’est la même chose, mais chez AMD. Et quand tu les combines, là, tu as un vrai rendu de fou furieux. Encore mieux qu’au cinéma. Mais encore faut-il comprendre à quoi elles servent précisément pour bien les utiliser.

 

Le ray tracing, c’est quoi ?

Le ray tracing — ou traçage de lumière comme dirait Molière — c’est la fonctionnalité qui permet de rendre les effets de lumière le plus réaliste possible. Vraiment comme au ciné. Concrètement : des reflets dans lesquels tu pourrais te recoiffer, des ombres vivantes et une ambiance de jeu vraiment crédible. Mais c’est pas gratos, et ça se paye plutôt cher : activer le ray tracing, c’est souvent diviser par deux tes FPS… à moins d’avoir une bonne carte graphique. C’est une vraie addiction, une fois que tu y as goûté, tu ne peux plus revenir sur des réglages basiques sans saveur et sans couleur. C’est vraiment le petit plus qui te laisse AFK tellement c’est « waouh ». Heureusement, c’est là qu’entrent en jeu le DLSS et le FSR pour compenser.

 

Qu’est-ce que le DLSS 4 ?

Le DLSS 4 (Deep Learning Super Sampling de son nom complet) l’IA au service de NVidia, et accessoirement ton nouveau meilleur pote pour gagner des FPS… qui n’existe même pas de base. Je t’explique : en fait, l’IA va générer des images intermédiaires entre chaque image native du jeu, ce qui fait péter ton nombre d’images par seconde. C’est presque de la triche. Mais ce n’est pas tout : l’IA va également optimiser le rendu de chaque détail pour préserver la qualité d’image. Et à moins d’être un puriste du pixel, tu n’y verras que du feu. Sur les dernières GeForce RTX 5000, c’est carrément devenu du dopage graphique. Tu peux passer de 60 à 100 FPS en un battement de cils. En plus de l’upscale, l’image reste belle. Tout est si fluide qu’encore une fois, tu en restes juste béat.

 

 

C’est quoi le FSR 3 ?

FidelityFX Super Resolution — troisième du nom — c’est la riposte de chez AMD.  Qu’on abrège en FSR 3 pour les intimes. Ici, pas d’IA, mais une techno qui n’a rien à lui envier. Elle te permet de booster la qualité de tes performances graphiques et de tes FPS de manière franchement propre. Et la version 3.0 rajoute de l’image générative, comme le DLSS. Imagine : avec le FSR 3, tu peux avoir le beurre, l’argent du beurre ET la carte graphique qui respire. Teste-moi ça sur une RX 9070 XT, tu m’en diras des nouvelles.

 

Comment ces technologies améliorent vraiment le gaming ?

Aujourd’hui, on bave tous devant ces jeux devenus de plus en plus beaux… et de plus en plus lourds. Sans un coup de main, même une bonne carte graphique peut être mise à rude épreuve. C’est là que le DLSS et le FSR entrent en scène tels des sauveurs : ils te filent des FPS en plus pour ne pas ruiner ton expérience de jeu. Si tu ajoutes le ray tracing à l’équation, il faut dès lors les activer en permanence. Mais concrètement, ça donne combien de FPS en plus tout ça ? Et l’image, elle reste vraiment irréprochable ? On check tout ça.

 

Des FPS boostés mais à quel niveau ?

Avec le DLSS 4 ou le FSR 3 activés, tu peux facilement doubler tes FPS. Je n’utilise pas l’expression au sens figuré, je ne te parle pas juste de 5 ou 10 images par seconde. Non, non. Le DLSS 4 peut carrément multiplier par quatre ton nombre de FPS ! Voici la réalité : t’es sur Cyberpunk 2077 avec le ray tracing à fond. Sans surprise, tu chutes à 30 FPS. Ça saccade tellement que ça te donne la nausée. Mets sur pause, file dans tes paramètres activer le DLSS 4 de ta RTX 5080, et là, c’est comme si Mimie Mathy avait claqué des doigts. Non pas 60 mais bien 120 FPS qui s’affichent au compteur. Même chose avec FSR 3 côté AMD (un peu moins véner ceci dit). RTX 5000, RX 9070 XT… chez les grosses cartes graphiques, c’est un vrai buffet à volonté alors ne te prive pas.

 

Image nette ou image floue ?

Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, et surtout de bien connaître sa config. Certains joueurs trouvent les mouvements floutés. C’est le risque de régler tes paramètres à l’aveugle. En mode Qualité, tu restes fidèle au rendu natif du jeu. Mais c’est aussi le plus exigeant : l’IA va privilégier la qualité d’image par rapport à la fréquence de FPS. A utiliser de préférence si tu joues en 4K ou en 1080p optimisé. Ensuite, il y a le mode Performance qui lui incarne la promesse de base de la technologie générative : la priorité est donc cette fois donnée à la fréquence d’images plutôt qu’à la résolution. Cela est encore plus vrai pour le mode Ultra, qui fait complètement la sourde oreille sur les résolutions de rendu. Enfin, pour couper la poire en deux, il y a le mode Balanced qui tente de trouver de trouver le meilleur rapport résolution-fréquences.

 

Quelle carte graphique choisir pour le gaming ?

Le ray tracing, le DLSS 4 ou le FSR 3 : tout ça c’est bien génial, mais faut un GPU aux épaules solides. Si tu veux activer tous les effets de lumière, gagner des FPS et jouer en ultra, pas le choix. Il te faut une carte graphique récente. La balle est dans ton camp : le géant vert NVidia avec sa série GeForce RTX série 5000, ou le rival de l’ombre AMD avec ses dernières Radeon RX 9000. La vraie question à te poser n’est pas qui est le meilleur, mais plutôt qui fait quoi de mieux et pour quel budget.

 

GeForce RTX série 5000 VS Radeon RX 9000 series : que choisir ?

On ne va pas tourner autour du pot : les GeForce RTX gèrent bien mieux le ray tracing, mais les Radeon RX assurent en rapport qualité-prix. A chacun son style selon son budget. NVidia, avec ses GeForce RTX, reste le big boss du ray tracing, et de loin. La lumière est plus propre, les ombres plus fines, les effets plus réalistes et plus stables. Et avec le DLSS 4, c’est limpide comme de l’eau de roche. Mais les Radeon RX, surtout la série 9000, n’ont pas dit leur dernier mot. Elles tiennent super bien en 1440p, même avec le FSR 3 activé. Sur certains jeux, elles font même mieux que la RTX 5070 Ti, une belle prouesse. Et niveau prix, elles l’emportent haut la main. En gros, si tu veux l’expérience visuelle ultime et que tu en as les moyens, va chez NVidia. Mais si tu veux une bonne carte graphique avec un max de FPS et un ray tracing correct sans vendre un rein, AMD te sauve la mise.

 

Le futur est-il déjà là avec les RTX 5000 et les Radeon RX 9000 ?

Les nouvelles GeForce RTX 5000 et AMD Radeon RX 9000 nous ont tous laissé sans voix. NVidia a vraiment poussé fort avec ses RTX 5080 et 5090. L’IA bosse en temps réel pour améliorer chaque frame session après session. C’est fluide, c’est propre, c’est presque trop beau pour être vrai. Chez AMD, le ray tracing s’améliore et les fréquences explosent. Ces cartes viennent à peine de sortir que l’on se pose déjà la question : de quoi seront capables les prochaines cartes graphiques ? Ce qui est sûr, c’est que tout repose sur le deep learning de l’intelligence artificielle et de la mise à l’échelle musclée. Le futur, c’est maintenant et en temps réel.

 

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